Typobiographie
Jost Hoshuli
Publication design, 2024.
Réalisé dans le cours Typographie et Composition
sous la tutelle de Raphael Daudelin
Comme le texte contient 6000 mots et les contraintes de mon mandat me demandait d'utiliser 16 pages, j’avais la possibilité d’explorer des compositions dans laquelle le texte à un interlignage de 11-12 ou plutôt 18 points. Comme mon format est grand, je me suis permise d’avoir une plus grande taille de texte, puisque cela me donnait quand même assez d’espace pour inclure les notes de bas de pages, ainsi que mes commentaires sur une même page. De plus, comme Hochuli mentionne l’importance de rendre le texte le plus lisible possible, il me semblait pertinent de me concentrer sur la lisibilité.
Hochuli mentionne l’idée de se sentir limité en utilisant une seule police, j’ai voulu explorer l’utilisation de plusieurs dessins, tout en évitant de rendre ma mise en page incohérente. J’ai donc opté pour deux polices en lien avec Hochuli qui contienne plusieurs dessins: le sans serif pour faire référence au style suisse, puis le serif pour faire référence aux livres. Le sans serif est une police inspiré de Walter Käch, et le serif est une de ses polices préféré.
J’ai choisit de coudre mes pages ensemble et d’utiliser un papier mince et grisatre, pour faire référence aux livres sur lesquelles il a travaillé, comme le magazine TM.
L’objectif du projet était d’apprendre à travailler avec indesign de manière efficace et de comprendre comment s’y prendre pour créer une mise en page pour un texte dans un format et nombre de pages prédéterminé. J’ai trouvez que de travailler sur la microtypographie ainsi que de faire les calcul pour que les interlignes soit proportionnel était satisfaisant.
Typobiographie
Jost Hoshuli
Publication design, 2024.
Réalisé dans le cours Typographie et Composition
sous la tutelle de Raphael Daudelin
Comme le texte contient 6000 mots et les contraintes de mon mandat me demandait d'utiliser 16 pages, j’avais la possibilité d’explorer des compositions dans laquelle le texte à un interlignage de 11-12 ou plutôt 18 points. Comme mon format est grand, je me suis permise d’avoir une plus grande taille de texte, puisque cela me donnait quand même assez d’espace pour inclure les notes de bas de pages, ainsi que mes commentaires sur une même page.
Hochuli mentionne l’idée de se sentir limité en utilisant une seule police, j’ai voulu explorer l’utilisation de plusieurs dessins, tout en évitant de rendre ma mise en page incohérente. J’ai donc opté pour deux polices en lien avec Hochuli qui contienne plusieurs dessins: le sans serif pour faire référence au style suisse, puis le serif pour faire référence aux livres. Le sans serif est une police inspiré de Walter Käch, et le serif est une de ses polices préféré.
J’ai choisit de coudre mes pages ensemble et d’utiliser un papier mince et grisatre, pour faire référence aux livres sur lesquelles il a travaillé, comme le magazine TM.
